MOURIR POUR SES IDES…
Oui, mais “de mort lente” comme le chantait Brassens. Mais mourir à 18 ans, est d’une injustice intolérable. Tué par des nervis nazis, c’est pire encore.
C’est pourtant ce qui est arrivé au jeune Clément Méric, militant d’un mouvement d’extrême gauche, attaqués par des skinheads qui l’ont tabassé à mort.
La montée de l’extrême droite, dans toute l’Europe est patente et va en augmentant.
La violence de ces groupes est systématique, que ce soit dans les stades, les manifestations qui se veulent pacifiques ou ailleurs, et maintenant la mort d’un jeune garçon…
N’est-il pas temps de prendre cette menace au sérieux ?
Mémoire 2000