C’est avec horreur que nous avons appris l’assassinat en Algérie, par des djihadistes, d’Hervé Gourdel, paisible randonneur qui n’a commis comme crime que celui d’être français et d’être au mauvais endroit, au mauvais moment.
C’est le premier otage français à être aussi sauvagement tué.
Ce “message de sang” perpétré pour impressionner la France et l’empêcher d’agir contre l’Etat Islamique, n’a reçu comme écho que la détermination du président Hollande de continuer à lutter contre le terrorisme.
En dépit de l’horreur, il est indispensable de ne pas céder devant ceux qui pensent qu’il n’y a place sur terre que pour un seul mode de vie, de croyance et de pensée…
Lison Benzaquen