Etre arrêté dans la rue pour une légère infraction du code de la route, être roué de coups par des policiers en civil, être amené au commissariat, mis en garde à vue sans explication pendant 48 heures, puis libéré sans autres…
C’est arrivé à un membre de Mémoire 2000.
Démocratie que de fautes on peut commettre en ton nom…
Daniel Rachline