De l’entretien sur le sujet de Clotilde Riess avec l’ambassadeur de l’Iran en France publié dans Le Figaro :
Faisant remarquer que Clotide Reiss «a reconnu les huit chefs d’accusation lors de son procès» le 8 août, l’ambassadeur d’Iran à Paris martèle que personne ne l’y a obligé. «Nos croyances religieuses nous interdisent de mentir et de faire avouer sous la contrainte», assure-t-il.